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22.10.16

Texto - "Simpatico rebelde"

Foi, aquele rebelde simpático; aquele que nunca aceitou prendas vindas da prepotência! Os ladrões roubaram-lhe o que lhe restava do seu mísero salário...


Pensamos, no entanto, que ele nunca se vai render; é indivíduo íntegro; tanto faz morrer ou viver; o importante é que viva a verdade!

Render-se aos panascas das "Necessidades"?  Seria  um suicídio...



Deixaram de lhe pagar o salário. Porquê? Porque se encontrou doente... E mandaram-lhe algumas demasias... 

Enfiem-nas no cµ!

FDP, Panascas: ele prefere  morrer, guardando suas ideias, mesmo que a miséria o atinja. E, de quando em vez, vai realizando um sonho magico: e se fossem todos pr'o c@ralh#!!!

Bordeaux, le 22-10-2016

JoanMira

Corruptos, FDP e panascas

Ao longo desta vida, (quanto a mim ja muito alongada), tive ocasião de conviver com pessoas muitíssimo interessantes, cultas, desinteressadas, honestas, compreensivas de todos erros (a não ser para corrigir, discretamente, algumas falhas).

Retrospectivamente, apercebo-me que essas pessoas eram de um índole excepcional…

Se bem que me apetecesse não as vou aqui citar as pessoas que conheci no Rio de Janeiro. 

São muitas, é facto, e todas mereceriam ser citadas neste post.

Contudo, tenho de falar dos outros: os FDP! Vou tentar desenvolver um pouco mais (pouquissimo). Tenho documentos que provam negociatas feitas entre Paulo Portas e o Presidente do Real Gabinete Português de Leitura.   

Algumas pessoas ocupando cargos importantes, outras nem por isso, mas mantendo estreitos laços de amizade com a gente humilde, pertencem a essa mafiosa organização…

Depois de 40 anos ao servico do Ministério dos Negocios Estranhos, estou sem salario porque doente...

Estamos na hora da denuncia ha muito resguardada!

Alguns "doutores" sem qualquer formação académica, procedem a uma prioridade mérdica: dar o cu. Cada qual faz dele o que entende. Mas a paneleirice nas "Necessidades" é demais. Não me interessa se não me estivessem a roubar o salario!!!

Puta que os pariu!!!

Obrigado aos meus Amigos do Rio.

Saudades!

22-10-2016


JoanMira

Zeca Afonso - "Menina dos olhos tristes" - Slides - Musica

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"Menina dos olhos tristes"

Texte - Cuba libre!


Je n’ai, à priori, aucun conflit latent ou pas avec la presse.

J’avoue, cependant, être quelque peu excédé par tous les reportages, entrevues et  interventions de "spécialistes", dont on nous abreuve, depuis que le président français, a bien voulu nous faire savoir sa soudaine et pesante "fierté" d’avoir été le premier chef d’état des pays occidentaux à visiter Fidel Castro depuis des lunes…

Comme si entre 1957 et 2015 l’Ile n’avait pas existé !

Et, comme pour renforcer davantage cette idée, nous avons été soumis, à satiété, à des "avis autorisés" d’hommes politiques français considérant que le fait de se réunir avec Fidel était un déni de démocratie.

Bref, je ne voudrais pas être obligé de dire à certains, tels Bruno Lemaire – qui se voit déjà à un poste de responsabilité – ni à d’autres, y compris à Hollande, que l’Etat français a serré bien d’autres mains, souvent sanguinolentes : Kadhafi et le nain Petit Sarko, Bokassa et les diamants reçus par le  donneur de leçons Giscard d’Estaing… Ni les crimes commis au nom de la France : ratonnades, massacre de kanaques par Bernard Pons… la liste serait infinie.

Par contre, je pourrai vous parler de Cuba sans concessions et avec l’objectivité relative que me confère le séjour dans ce Pays en 2010.

C’est une contrée où vous êtes en sécurité; par expérience, revenant à mon hôtel, à trois heures du matin, dans les plus sombres ruelles d'un petit village, non seulement personne ne vous agresse, comme les gens continuent à montrer leur gentillesse.

Par ailleurs, nous avons pu converser librement avec des ouvriers cubains. (Distilleries, fabriques de tabac) et il nous a été dit, qu’effectivement, les travailleurs ne gagnaient qu’environ l’équivalent de 13 euros par mois. C’était le cas, d’ailleurs de médecins, ingénieurs… La plainte venant d’une ouvrière, libre de dire ce qu’elle pensait, nous est restée en mémoire.

Nous avons vu les épiceries pour étrangers ou l’on pouvait acheter ce que l’on voulait avec des pesos convertibles et les autres, destinées aux autochtones rationnées à travers la « libreta ».

Nous avons vu un peuple au seuil de la misère, propre, joyeux, mais en aucun cas misérable… Nous avons même vu des gens qui, le samedi soir, s’éclataient dans les "discothèques" cubaines ("casas de la trova").

Et, j’ai même vu des étrangers euphoriques et heureux prêts à partir vivre dans ce Pays béni.

Je ne parlerai que très brièvement de l’excellence du système cubain de santé d’éducation, de culture, où tout est gratuit.

Je ne vous parlerai, surtout pas, de la crainte du peuple cubain de devenir l’appât du capitalisme de l’ex-URSS, type Russie actuelle.

Je t’aime Cuba.

Bordeaux, le 22 octobre 2016

JoanMira


Texte - "It was a perfect time"


Chaque chose à sa place : la lune dans le ciel en compagnie d’étoiles naissantes, le soleil déclinant allumant des nuages irisés prêts à disparaître, les rumeurs de la ville, au loin, et des subtils parfums de fleurs...

Les piaillements des enfants diminuaient, petit à petit et à mesure que la lumière déclinait, prêts qu'ils étaient à rentrer, se laver les mains, ranger leurs cartables, avaler vite-fait une quelconque et habituelle nourriture sans s’attarder, se coucher et s'apprêter à vivre le cauchemar de l’heure matinale où il faut se lever et partir à l’école.

Enfin, les parents allaient pouvoir se disputer devant le poste de télé…Une journée ordinaire, vous dis-je…

Et au petit-matin, entre parfum de pain-grillé, chocolat et café noir, ça repartait dans une confusion indescriptible que seuls les humains savent créer et gérer…

Entre-temps, dans la nuit, j’avais appris la mort soudaine de mon père.

Avec mon pragmatisme et discrétion habituels, je n’avais rien laissé paraître.

A l’heure de la sortie de l’école, j’étais là pour recueillir mes petits êtres.

In fact, it was all the same a shitty day...

Bordeaux, le 29 mars 2016

JoanMira

21.10.16

Texte - Retour de fête à Rio de Janeiro


J'ai grand mal à trouver les touches du code d'entrée...

Une voix nasillarde: "Le numéro que vous avez fait ne correspond à rien"...

"Ah bon…J’appelle nulle part alors… ! Vous êtes qui vous"?

" Ici la Centrale de Contrôle des Appels Téléphoniques, nous sommes en éveil. Veuillez vous annoncer" …

"Ici JoanMira, qui rentre d'une fête monstrueuse; je voudrais juste rentrer chez moi pour roupiller deux ou trois heures"…

"Le code d’entrée est indispensable… Sans cela la porte ne s’ouvrira pas"…

"Mais putain, c'est trois heures du matin, j’suis complètement sonné ; j’ai oublié ce fils de pute de code… Je veux rentrer chez moi"…

"J’ai trois putes avec moi… Ouvre saloperie"…

La voix, tout d'un coup éveillée, me questionne: "Combien de nanas?"

"Trois"...!

"Ok, j’ouvre".

21-10-2016

JoanMira

Texto - "Uma murraça no olho"

A besta quis parecer-se comigo.

Esquecendo qu’eu pouco valho. 

E , irritado pela ousadia, logo o quis mandar pr’os tomates do avô. 

Não foi suficiente, não… 

O “animal” ferido, não tendo ficado

Contente, utilizou, de imediato um

Argumento contundente como término.

A ofensa absoluta: um murro no olho. 

Fiquei ofendido e, porventura, um pouco 

descontrolado: o meu olho esquerdo, aquele 


Que melhor vê!!! 

(O outro é só para enfeitar).

O argumento do cretino obrigou-me a uma

Retaliação imediata; bem lhe acertei 

Na caixa que, em principio, serve a proteger 

O cérbero de quem dele tem réstias mas, 

Infelizmente, não foi suficiente… 

Resta-me o prazer de lhe não ter deixado apoderar-se 

Dum télélé (do qual me estou borrifando) e lhe ter 


Enviado uma grande murraça intensa e certeira que 

Deve ter feito mossa (visto o inchaço da minha mão). 

A memoria que ficarah desta cena é que ao ser agredido todo ser humano deve ajoelhar-se e pedir: mais, mais, mais...e, levantando-se subitamente, "arrebentar" o focinho ao agressor!!! 

21-10-2016

JoanMira

18.10.16

Texto - Talvez corrupção? Talvez!


Não esperem que digamos que os deputados transportam consigo "cheiros incómodos". Nem pensar! Eles são na sua grande maioria cidadãos bem lavadinhos e penteadinhos...

Excepção, talvez, para algum "Maduro" que não seja assim tão bem (penteadinho)... Mas que gosta da "limpeza", não tenhamos duvidas...

Talvez algum "Portex" que tenha sido subitamente expelido de algum submarino improvável, navegando, por inadvertência, em mares extremamente poluídos... talvez... Mas, nem sequer queremos imaginar, que logo após "o trabalho" se não tenha branqueado... talvez...

Talvez um Peter Steps Rabbit "arrotando" postas de negociatas realizadas talvez no Rio de Janeiro com a cumplicidade do amigo "doutor" Relvas? Talvez.

Talvez muitos deputados "fazendo contas à vida" do após saque aos fiéis cachorrinhos que os elegeram, se tenham descuidado... Talvez, mas nem queremos acreditar...

Então? Que nos resta para concluir a investigação?

Que a corrupção não só deixou de ser invisível como até já tem perfume, por mais nauseabundo que seja?! Talvez... Mas não acreditamos...

Talvez...

JoanMira


04-04-2014

12.10.16

Texte - Société de lâches!

Nous vivons dans une Société sans valeurs. On piège, on braque, on vous met en position d’otage principal, on torture, on tue… sans aucune résistance en face.

Est-ce cela que les politiques veulent ?

Je sais par l’expérience que me confère mon âge que toutes les excuses sont toujours parfaites pour ne pas réagir…

Qu’ils soient jeunes de 8 ans ou moins, "foutons-leur sur la gueule ". S’il vous agressent c’est qu’ils sont en manque de l’éducation qui se pratiquait à mon âge. Je vous laisse imaginer…

12-10-2016 
JoanMira

11.10.16

Texto - "Puta Que Pariu"!

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Já pode mandar para lá o seu melhor inimigo porque o lugar existe.

Fica na cidade de Bela Vista de Mina Gerais; Perto de João Monlevade.

Cercada de mato, é beleza. Um dos bairros tem o nome de Puta Que Pariu… Gostoso, não é?!

A verdade se deve dizer que os padrinhos foram portugueses.

O município de Bela Vista de Minas foi criado pela Lei nº 2764, de 30 de Dezembro de 1862, desmembrando do município de Nova Era (New Era City), declarando naquele momento, às margens do Corrego do Onça.

Visite; sem ir para la.

Puta que Pariu, A Cidade.jpg