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27.7.16

Banif: Comissão Europeia arrasa governo de Passos Coelho


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Num documento enviado aos deputados da Comissão Parlamentar de Inquérito ao Banif, a Comissão Europeia aponta o dedo ao anterior governo PSD/CDS pela sua inação e inaptidão na gestão de todo o processo.
“Desde que a aprovação temporária da ajuda do Estado foi aprovada em Janeiro de 2013, a Comissão instou repetidamente Portugal a agir no caso Banif” pode-se ler na carta de resposta de 59 páginas enviada de Bruxelas, a que o jornal Público teve acesso. O documento mereceu elogios do deputado Miguel Tiago do PCP, que salientou “a clareza superior ao habitual” da argumentação e que demonstrava que “o anterior Governo foi no mínimo negligente”.  Mário Centeno, ministro das Finanças, também elogiou a resposta do executivo comunitário, notando que fica claro que “é reconhecido pela Comissão que este é um processo anormal.”
Na carta, assinada pela liberal Margrethe Vestager, Comissária para a Concorrência, é revelado que “a Comissão foi muito clara em cada momento sobre as diferentes versões das propostas de planos de reestruturação enviados pelas autoridades portuguesas, e que não permitiriam o regresso da viabilidade ao Banif. As diferentes versões tinham em comum, entre outras coisas, dados de muito fraca qualidade, projecções de rentabilidade irrealistas e sem fundamento”. Assegurou ainda aos deputados que  no passado aprovou “planos de reestruturação em Portugal que foram implementados (por exemplo no BCP e no BPI)” e que “as decisões, nesses casos, foram tomadas em menos de 18 meses após o início das discussões”. A comissária sublinha que tal “contrasta fortemente com a duração das discussões sobre o Banif que se estenderam por mais de três anos”.

24.7.16

Texto - Merda de gente!

Texto de merda, gente de merda e merda de gente: o sacrificio de uma geracão...

Foram os melhores anos de Portugal, mas ja não temos ilusões e está tudo por fazer. Nada esperamos de FMI's de merda, de BCE's da porra nem de TROIKAS da PUTA QUE OS PARIU! Europa, das obras públicas dos corruptos do Parlamento, ou da canalha que nos prometeu o céu e se serviu em vez de servir o Pais.

Presidente da Republica estatuo, preocupado com a reforma que diz ser de merda...resta-nos a curiosidade de esperar até quando o Povo decida enfim revoltar-se.

A geração de filhos da puta que despejou um balde de merda nesta década perdida esta a acabar. Pode ir para casa comer tofu, porque acabou. Pode ir a Londres comprar sapatinhos Miu Miu, encanalhar-se em Berlim, beber Dom Perrignon em Paris, porque acabou.

Estes foram os melhores anos de Portugal, os nossos anos dourados. Os velhos ainda berram por Salazar, os destroços de 68 ainda querem revolução — mas o rasto de perfumes caros desvaneceu-se, as putas calam-se e os cabrões devoram os filhos.

Os que saírem dos escombros desta merda, os que limparem a merda desta gente, os que cuspirem nesta gente de merda serão melhores do que somos. Por isso estes foram os melhores anos de Portugal, os nossos anos dourados.

As putas calam-se e os cabrões despedem-se ruidosamente. Estão mortos e ainda não sabem...

Rio de Janeiro, 25 de julho de 2012

JoanMira

22.7.16

Texte - Fable : Une journée dans la savane

Le rhinocéros "Grosrocha" se prélassait, tranquille, paisible,  dans le peu d’eau qu’il restait dans sa mare fétide préférée.

Il savourait la victoire obtenue sur tous les animaux de la jungle.

Son dernier adversaire, le lion des roches, il n’en avait fait qu’une bouchée… toute la faune s’était rendue à son pouvoir ; il y avait bien les éléphants (les "machopinto", surtout) mais ils n’étaient pas dangereux ; forts de leur force, ils  n’étaient pas spécialement belliqueux…

Sous le ciel bleu-azur, les gazelles rêvaient, les oiseaux aux couleurs chatoyantes gazouillaient, les prédateurs humains se tenaient à distance.

Hormis le chant harmonieux des alizés, rien ne venait troubler le paysage bucolique caressé par les courants tièdes ; c’était l’harmonie parfaite dans un Paradis rêvé.

Un orage grondait au loin ; bon  présage  pour tous. De l’eau, de l’eau… Les bêtes n’attendaient que cela ! L’eau c’est la vie ; cela signifie l’habillage en vert de la savane.

Tous se réjouissaient : les gazelles allaient pouvoir brouter, les lions pouvoir les dévorer et les hyènes préparer le festin des carcasses restantes ; les larves allaient croître, donnant naissance aux papillons ; les arbres allaient assouvir leur soif, ainsi que la végétation.

D’autres petits animaux, les rongeurs, se préparaient aussi à la fête !

Et le rhinocéros "Grosrocha"?

De se prélasser aussi il continuait. Certes de l’eau en plus cela ne le rendait pas plus heureux que cela,  sachant que l’odeur d’égout de sa mare adorée allait disparaître…

En outre, il ne savait pas que ses jours étaient comptés !

Il avait été victime d’une piqûre d’un tout petit moustique qui, dans la mare fétide à l’odeur d’excréments, avait réussi à traverser son derme…

Il agonisait maintenant avec des pensées de regret ; que n’avait-il été plus magnanime avec les plus faibles ?

Hélas, c’était trop tard ; le moustique "Naperdoaomira", sous des airs d'insecte pacifique, allait mettre un terme à ses jours… Déjà les hyènes s’approchaient…et les oiseaux continuaient de gazouiller.

14-03-2016


JoanMira 

18.7.16

Texto - Adelino Pereira


Cada minuto que passa eu penso sem você,

Quando a tristeza me amassa, penso em você.

O Roberto me disse que gostava de você.
Pena, na altura, não estivesse com você.

O Rio não é assim tão lindo sem você.

Mas seria um paraíso com você!

Vivi mil aventuras sempre pensando em você.
Acabando em desgosto por não ter você.

Se um dia ao céu chegar, la só quero reencontrar
um Amigo como você.

Bordeaux, 18 de Julho de 2016.

Em homenagem ao meu Amigo, Irmão, Adelino Pereira.

JoanMira

13.7.16

Texte - Scènes de la vie quotidienne - Le facteur ne sonne qu’une fois (en français/e em Português)

Aujourd’hui à l’aube, vers dix heures du matin, je fus réveillé par la sonnerie stridente de mon interphone ; qui cela pourrait-il être sachant que jamais personne ne "frappe à ma porte". Un éclair : mais c’est bien sûr, c’est le facteur.


Je saute rapidement de mon plumard, je fais cinq mètres (eh oui il est grand mon appart) pour me rendre au combiné interphonique et je dis "allô" et … Aucune réponse…


Alors, à force de me faire "avoir" par le facteur facétieux, je descends "tombeaux ouverts" les étages pour, à l’arrivée : RIEN ! Je jette un œil sur ma boîte aux lettres et là, je vis la preuve de son passage : un avis de lettre recommandée avec avis de réception.



Remontant, encore étourdi, à mon quatrième je m’interrogeais sur la provenance de la lettre. Je voulus partir à la Poste tout de suite, mais ma mémoire me rappela que j’avais rendez-vous à midi avec mon médecin ; le temps de prendre ma douche, me raser, me parfumer, m’habiller, j’ai rapidement conclu que ce n’était pas possible.


Je décidai, donc, de me rendre à la Poste en début d’après-midi. Ce qui fut fait. A quatorze heures j’étais là.



Je pousse la porte qui se referme sous les montants métalliques , gonds jamais huilés, dans un bruit infernal et… personne.



Si, pourtant, au fond de la pièce se tenait une matrone aux gros seins, petite taille et un cul énorme qui ne bronchait pas occupée qu’elle était sur son ordinateur…


Cinq minutes à "poireauter" et l’envie me prit de commencer à crier… Mais je n’en fis rien imaginant subite et rapidement, l'intérêt de l’expérience…

C’est vrai, je suis comme ça ; je passe à travers la vie tel un chroniqueur avide de transmettre aux autres mes expériences vécues; je vis, ou du moins j'essaye, et je veux que tous les êtres vivent. J’ai cette dualité en moi (je n’ai pas que des défauts) qui me permet de résister à beaucoup de situations difficiles.

Entretemps le temps passait ; deux autres clients s’étaient agglutinés ; la matrone continuait à se régaler sur son jeu d’ordinateur ! Mais soudain, allégresse et joie, une certaine envie de pisser nous l’amène vers le guichet des patients.

Aucune excuse ni regret ; ses paroles furent :

« Si vous ne sonnez pas », montrant un panneau merdique, vous pourriez rester là toute la journée.

//

Um dos franceses disse « merci ».

Eu não disse nada mas pensei: “que granda filha da Putå”

Foi verdadeiramente um dia de merda! Lembro-me nesta altura de um grande Amigo alentejano que, em momentos menos felizes lançava esta frase que ficara para sempre na minha memoria: "Ah sorte de um cabrão!!!"

Mais; quando li o teor da carta (com ameaças, mais ameaças), pensei também associar uma amiga "consolada” a todo o Inferno em que vivemos.

Obrigado aos Amigos que me apoiam.

Bordeaux, 13 de Julho de 2016

JoanMira

12.7.16

Texte - Tout tue!


Fumer volontairement, tue aussi sec que respirer, sans vouloir, tout air pollué.


Cela m’est venu à l’idée, à force d’entendre des messages hypocrites à la télévision, radio et lu dans tous les journaux remplis de réclame (pardon, publicité).


Eh oui, naître est le commencement de la mort !

Cette putain de vie est si courte qu’il faudrait, en outre, renoncer aux rares plaisirs qu’elle nous procure ?

Pour en revenir à l’hypocrisie dont on nous rebat les oreilles tout le long de nos journées, je pourrais m’insurger, contrariant sans peine les moralisateurs : "fumer tue", "boire tue", sauf si c’est avec modération, "baiser sans capote peut tuer", et avec la spécialité de Condom elle empêche la vie… Au nom de Dieu on perpètre les plus vils attentats, mais il faut respecter les confessions, dit-on…

Bref, il faut être une image d’Epinal sans couilles pour les hommes ni seins pour les femmes !

La Société tend à ce monde stérilisé où plus personne ne sait sa destinée.

Et que dire des "pubs" qui incitent à jouer aux jeux d’argent tout en incitant à ne pas y jouer, proclamant en silence ou petits caractères, que l’addiction peut être mortelle (foutant en l'air la vie de beaucoup d'êtres).

Tout cela se passe dans le monde "globalisé", dans une €urope pourrie par l'intérêt financier. Même au Portugal …

A propos, le Portugal est champion d’Europe en foot et continue à subir les assauts de l’Union Européenne…

Oubliez-moi vils moralisateurs, hypocrites et  assumez-vous.

Laissez-moi jouir de cette joie si simple et lâchez-moi les c#uiLL€s!

See you folks.

Bordeaux, le 12 juillet 2016-07-12

JoanMira