Texte : "Le ridicule ne tue pas, mais il met mal à l'aise"

Nous sommes férus de cette citation de l’écrivain québécois Louis Gauthier. Il est, en effet, des situations où elle a tout raison d’être.

Parmi tous les candidats à la "primaire" de droite, pléthore de candidats prêts à se sacrifier uniquement pour "faire le bonheur du peuple" (ils ne disent pas « pauvres-gens »), aux accents larmoyo-crocodiliens, refusant tout égocentrisme dont ils débordent, il y en a certains moins hypocrites que d’autres.

Mais y a des candidats à la Présidence qui n’ont jamais entendu parler de notre Louis Gauthier…

Le ridicule ne tue pas ; heureusement (ou non) sinon maints candidats seraient exterminés sur le champ ! Et les politiques survivants n’auraient plus l’audace de mentir comme des arracheurs de dents.

Venons-en aux faits ; parmi tous les candidats à droite (comme à gauche, d’ailleurs), il en est un qui devrait détruire son homonyme en se regardant dans la glace quand il se rase ; il a été Président et, simultanément, la risée du Monde lors de ses fréquentes apparitions. Nous vous laissons deviner son nom…

Mais, actuellement, il y a du nouveau ; l’actuel Président hésite encore s’il doit se représenter ou non, malgré l’énorme impopularité qui l’accompagne, conséquence de sa politique et comportement personnel désastreux…

Revenant aux candidats de droite, il en est un qui, paraît-il, est le favori des français ; sachant que c’est un homme au long parcours politique, aussi long que son impopularité quand il a assumé par le passé les fonctions de premier ministre, qu’il a été condamné par les Tribunaux, qu’il s’est exilé et qu’il veut nous faire croire à sa virginité et jeunesse…A moins que ce ne soit sur les pancartes de ses partisans : " PéJU"!!!

Nous avons le droit de nous interroger sur la mémoire défaillante de beaucoup et, surtout, sur la motivation du revenant et de ce qu’il pourrait offrir, au-delà de lui-même, à ses concitoyens.

Décidément, le ridicule n’a pas fait de victimes.

Bordeaux, 17-11-2016

JoanMira

Texto : "O apagar da vela"

Os trilhos que me levavam ao que parecia ser felicidade vão-se apagando lentamente como deixa de dar luz a vela.

O meu rumo é incerto ; a minha força vai-se esvaindo, destruída pelo vendaval incontrolável.

Ver partir um ser é uma tortura indescritível quando hora a hora, dia a dia se assiste ao término inexorável...

Agora sei  que até há limites para a resistência dos seres ; único objetivo :  tentar sobreviver para ajudar todos os que sofrem. Perdão a todos que me amam se a vontade me faltar.

O sofrimento é intenso ; inimaginável …

Perder um ser querido é um arrombo da alma.

A alma vai perdurar, mas quando o corpo não aguenta mais...

Não sei quanto tempo teremos pela frente... 

Obrigado Amigos pelo carinho e força que sempre me têm transmitido ; mas parece-me que é este mesmo o fim da viagem.

04-11-2019

JoanMira

Fotografia : "Deixem-me rir para não chorar - (A sombra da azeitoneira)"

"Deixem-me rir para não chorar - (A sombra da azeitoneira)"

07-10-2019

JoanMira

Blogs - Texto - Incidentes

Caros amigos, devido a problemas pessoais, este blog não se econtra a funcionar como gostariamos. Desejo a todos toda a sorte do mundo e que nos possamos reencontrar dentro pouco. Beijinhos e abraços.

Humor - Video - Bandex/Donald Trump : "Low on ammunition"

"Low on ammunition"

Humor - Video - Bêbado : "SIMBORA !"

"S I M B O O O R A A A ! ! !"

Bebado canta no bafometro ao invés de assoprar !

Humour - Musique - Video - Marie Josée Neuville : "Par derrière ou par devant"

"Par derrière ou par devant"

"Par derriere ou par devant, Marie Josée Neuville "Dans notre école un vieux professeur Souvent victime de sa bonne humeur Nous enseignait en recréation seulement Un jeu qui le passionnait de son temps A chaque phrase que disait ses parents REPASSER C'EST HAS BEEN Access'Steam, rejoignez le mouvement qui défroisse Acheter Il ajoutait « par derrière » ou « par devant » Le brave homme ne se doutait pas Qu’en nous enseignant ce jeu là Il signait la condamnation De toutes ses prochaines leçons Le nez de Cléopatre eut été « par derrière » La face du monde en eut été « par devant » Henri IV avait panache blanc « par derrière » Henri III n’avait pas de sentiments « par devant » Charlemagne portait barbe fleurie « par derrière » Cachez ce sein que je n’saurai voir « par devant » Démons déchaînés nous étions tous « par derrière » Aux visages purs d’enfants charmants « par devant » S’en est allé le vieux professeur Près du Bon Dieu et pourtant nos cœurs N’oublierons pas le petit avertissement De son jeu qui nous divertissait tant Par devant nombre de compliments Deviennent par derrière propos désobligeants Le brave homme ne se doutait pas Qu’en nous enseignant ce jeu là Il nous initiait tout petit A la dure école de la vie Que de recommandations m’a-t-on faites « par derrière » Lorsque devaient m’être présentés « par devant » Des fripouilles des brigands m’assurait-on « par derrière » Mais qu’amicalement on appelle vieux frère « par devant » Les vieux frères en question m’avaient prévenu « par derrière » De me méfier de ceux qui me prévenaient « par devant » Mieux vaut que la franchise reste « par derrière » Un brin de mensonge est plus utile « par devant » L’amour est l’exception qui nous fait dire « par derrière » Des choses aussi jolies que celles qu’on dit « par devant » Des je t’aime je t’adore pour la vie entière Il y en a autant par derrière que par devant Car le brave Cupidon de sa flèche légendaire Vise tous les cœurs de la terre par derrière ou par devant."

Violence - Video : CRS frappe un homme sans défense

Sur le film, largement partagé sur les réseaux sociaux, le CRS met un coup de matraque au visage d’un manifestant alors que celui-ci ne paraît pas menaçant.

Le procureur de la République de Nancy a indiqué mardi avoir saisi l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) après la diffusion d’une vidéo montrant un CRS frappant avec une matraque un manifestant lors de l’acte 44 des gilets jaunes samedi à Nancy. "Je (…) confirme avoir saisi hier (lundi) l’antenne de l’IGPN à Metz pour enquête et ce, sur le seul fondement de la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux", a indiqué le magistrat, François Pérain.

Cette vidéo de quelques secondes, largement diffusée sur les réseaux sociaux, a été tournée samedi en fin d’après-midi pendant la manifestation des gilets jaunes, dans une rue du centre-ville de Nancy, selon Le Républicain Lorrain. Elle montre un homme, seul au milieu de plusieurs policiers, face à un CRS qui lui assène subitement un coup de matraque au niveau du visage. L’homme, qui ne porte pas de gilet jaune, recule alors précipitamment, pour s’engouffrer dans un hall d’immeuble, suivi par le CRS. Ce dernier porte un casque et est donc difficilement identifiable sur les images. 

Sud-Ouest - France

Humor - Video - Gato Fedorento : "Colete Cor-de-Rosinha"

"Colete Cor-de-Rosinha"

(malucas, disparate...)

Texto - Viva a democracia - 03-10-2014

Minha querida, linda alma que pertences a este invólucro

Capa escondida que embrulhas os meus sonhos, reais

Para onde me voas levando nas belas asas ligeiras

Fundo dos meus ideais perdidos nas perdidas ilusões?

O Universo é longe demais para tanto sofrimento.

O ser humano voga no espaço inter-sideral e ri das

Patetices por aqui propagadas de forma exponencial

Cretinos que nos governam, pelo Povo eleitos.

Viva a democracia!

Meus Amigos tão caros, alguns traidores, riam da minha miséria

Dêm tempo ao tempo… Todo ciclo da a volta e a termo chega.

Chega para mim como a todos atinge… Cedo ou tarde.

A cada ser que se preze, honesto, verdadeiro ou cobarde.

Eles passam, todos, mesmo os tolinhos que imaginam que o sol

Gira à volta da terra. Sabemos que não sendo assim, nos remetemos

Aquela sabia realidade que que nos impõe a lei da física universal:

Nos é que passamos pelo tempo e ela não gira,

Viva a democracia!

Conhecendo bela donzela, donde dela tudo gira

Imaginando-a de rosto não muito feio de valer

que proveniência e aspecto lhe da poder

Vem-nos à língua o palavrão: que se va la ….!

Mas nem isso consegue a infeliz! Seria o seu intento…

Mas mesmo esfolando-se, babando, rastejando porventura,

O seu imerecido e chorudo vencimento nunca calara o grito:

Viva a democracia!

03-10-2014
JoanMira