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17.8.16

Texte - En quarantaine les fanatiques!


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Ne les tuons pas ; isolons-les !

Il est un temps pour tout ; le temps de la croissance, le temps de la connaissance, le temps de la reconnaissance, le temps de la patience et puis, le temps de la révolte ! Est-il temps, est-il encore ?

Tant que notre existence puisse permettre d’émettre un avis se voulant le plus objectif possible en matière de tolérance, nous avouons être à bout. Ceci à propos de la violence.

A l’Ouest, sans jamais oublier toutes les exactions dont nous nous sommes rendus coupables à travers les âges, conscients du pouvoir esclavagiste devenu capitaliste, nous voulons vivre en harmonie avec   tous ceux qui, ne pensent pas comme nous, mais envient notre mode de vie.

Nous sommes dans une léthargie un peu démocratique mais nous nous en contentons loin de tous fanatismes ayant pour but la destruction de ceux qui "pêcheraient" par la différence d’idées.

En somme, nous sommes des êtres repentants qui, espérant battre coulpe de séculaires  erreurs, accepterions presque l'inéluctable horreur humaine.

Le crime contre le genre humain nous provient, par strates, de tous les fous de Dieu.

Fanatiques au premier rang desquels se trouvent tous les adorateurs de "Caralete". Qu’ils soient musulmas sunnites et autres, chrétiens catholiques, théistes, orthodoxes, Jéovahs, Juifs ou toute autre secte… notre mépris est total !

Parlons-en, des musulmans  fanatiques qui au nom d’Allah sacrifient les innocents coupables du "crime suprême" de ne pas suivre le dictat de leur hypocrite pensée.

Pour eux, il ne serait pas trop de, simplement, mettre un barrage à leur prosélytisme sauvage en les laissant s’entretuer dans leur infernal paradis !

Au lieu de cela, nous les accueillons dans une infidèle contrée, ou ils profitent, à l’instar des infidèles, de la Société "incrédule".

Pour les éliminer il ne faut pas envoyer de bombes, de les armer, de soutenir les uns ou autres… Il faut simplement ériger une large barrière autour de leur porcherie…Ils finiront par tous se détruire…

Et, par là, nous laisser régler les problèmes que pose notre Civilisation.

11-08-2014

JoanMira

16.8.16

Texte - Facebook à gerber!


Afficher l'image d'origineCherchez pas les mecs! Si mon compte "flicbook" a déjà été bloqué plus d'un mois c'est grâce aux " Grands Salopards" qui dirigent "Facebook".

Ce sont de grands censeurs dans l'âme: vous avez le droit de rester sur leur site (en leur permettant de bien se remplir les poches) si vous êtes bien gentil, sympathique et mignon; vous pouvez envoyer des "like" de mes deux, des fleurs virtuelles à vos amis, publier de beaux paysages, "partager" de la musique de merde... 

Tout ca les "super-flicbookards" l'acceptent sans gêne aucune. Mais, gare à vous, si vous publiez les caricatures de Mahomet, textes acerbes sur les juifs, sur l'opus dei, l'apartheid en Afrique du Sud...si l'envie vous prend de critiquer l'église catholique ou autres sectes telles les témoins de l'accident de Jéovah ou membres de "l'eglise du 7ème ciel pendant les saloperies du pasteur pédophile"...alors là, vous êtes faits come des rats! Et vous vous retrouvez comme des cons bannis de la "communauté flicbook"! C'est ce qui est arrivé au Journal "Charlie Hebdo"...Mais lisez, plutôt, leur article édifiant.


05-09-2012

JoanMira

...À Charlie Hebdo, finauds, on a essayé de ruser en proposant à Flicbook de nous rebaptiser d’un nom familier aux lecteurs de Charlie, un nom au-dessus de tout soupçon, un nom bien français : Maurice Patapon. Retoqué. Ayant épuisé nos chances de nous rebaptiser, Facebook a définitivement fermé, contre la demande de notre avocate de préserver les informations pouvant être utiles à l’enquête, notre compte Charlie Hebdo avec ses 5 000 contacts.
Facebook oserait-il jouer son image d’ami des révolutions arabes avec ce genre d’opération «bas les masques»? Évidemment, pauvres naïfs, puisqu’il s’agit de consolider le bien juteux fichier de clients potentiels. Si passer pour le bras armé de la démocratie peut être bon pour les affaires de Big Brother, il ne faudrait quand même pas croire qu’il en perde de vue, comme tout média gratuit, ses vraies priorités: les annonceurs à qui il vend des profils soigneusement renseignés.
En mars dernier, l’activiste et journaliste chinois Michael Anti, qui, comme nombre d’intellectuels chinois, travaille sous un pseudo anglicisé, s’est vu fermer son compte Facebook. Quasiment en même temps que Charlie, Salman Rushdie entamait un bras de fer avec le site, qui l’avait pris en grippe au prétexte qu’il usurpait l’identité de quelqu’un de connu. L’envoi d’une photocopie du passeport n’a que partiellement suffi à débloquer l’affaire : obsédé par sa pseudo-politique antipseudos, Facebook a consenti à restaurer le compte de l’écrivain, mais sous son «vrai» nom, à savoir Ahmed Rushdie (Salman étant son deuxième prénom). Féru de réseaux sociaux et un tantinet rancunier, Rushdie organise la riposte sur Twitter, en listant à ses 129000 «followers» les plus éminents «Middle Name Users» qui tomberaient dans l’anonymat selon la loi de Facebook : James Paul McCartney, Henry Charles Bukowski, Adeline Virginia Woolf, George Orson Welles…
Il suffit de jeter un coup d’œil à la page Facebook de Salman Rushdie pour retrouver nos amis d’il y a quelques semaines, qui continuent depuis plus de vingt ans à se soulager sur Salman où qu’ils le trouvent. Évidemment, tous ces sympathiques défenseurs de Dieu signalent la page de Rushdie aux administrateurs Facebook, qui s’empressent de jouer les inquisiteurs au lieu de vérifier si, par hasard, les menaces de mort et le harcèlement pratiqué sur leur site ne seraient pas aussi contraires à leur règlement. Pourtant, contrairement à la plupart des litanies absconses qu’on signe habituellement sans chercher à les lire, les «community standards» de Facebook sont très clairs. Article 1: «Nous souhaitons que nos membres se sentent en sécurité sur le site. Toutes menaces crédibles d’attaques seront retirées.»
Quant à utiliser le média Facebook pour en dénoncer les dérives, n’y comptez pas. Charlie s’est fait remonter les bretelles pour avoir diffusé la capture d’écran du message envoyé par Facebook nous rappelant à l’ordre. Vous suivez? Contrevenir au règlement est interdit, diffuser le règlement l’est apparemment aussi.
CHARLIE HEBDO - FRANCE

14.8.16

Texto - Incêndios em Portugal. Se os submarinos voassem...Né Portas?

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Estamos a chegar ao Verão, a temperatura aquece e periodicamente volta "à baila" o caso dos submarinos negociados por Paulo Portas.

Quando os incêndios começarem a lavrar pelas encostas dos montes, será tempo de questionar Paulo Portas e a compra de submarinos num País que se debate com gritante falta de meios de combate aos fogos. Para que queremos submarinos quando os nossos bombeiros, sub-equipados até metem dó. Para quê submarinos se não temos meios aéreos? 

Nem sequer nos podemos gabar de termos feito uma boa "negociata" ja que os alemães reduziram na qualidade do equipamento e mantiveram o preço inicial e o ex-ministro da Defesa aprovou o negócio e, com "habilidade" acabou por  pagar 30 milhões a mais...

A informação consta, segundo o "Jornal de Notícias", de um documento de 29 de Abril de 2004 assinado pelo líder do Grupo de Projectos dos Novos Submarinos (GPSS), capitão-de-mar-e-guerra Rui Rapaz Lérias: "O preço dos dois submarinos (712 milhões de euros) não sofreu qualquer alteração relativamente ao seu valor de adjudicação, embora (...) a configuração dos submarinos tenha sido degradada". 

18-04-2011

JoanMira

13.8.16

Texto - A "diplomata" analfabeta

Naquele fatídico ano de 19.., a senhora “diplomata” foi expedida para um posto consular de somenos importância; foi a forma que encontraram outros “diplomatas” com sede nas “Necessidades” para se verem livres de tamanha calamidade. 

Mal chegou (em altos berros que, diga-se, foi uma constante do seu consulado), deu livre azo ao seu mau feitio, embirrando com funcionários, utentes e crianças; tendo identificado, à partida, que a senhora tinha graves problemas psíquicos, não liguei muito ao seu comportamento, habituado que sempre estive a “tudo” o que desagua das “Necessidades”. 

E a vida decorria normal, isto é, os funcionários esforçando-se por fazerem o seu trabalho mesmo sem rumo e a senhora a servir-se da mansão e dos lacaios. 

Até que um dia, infelizmente, se deu um grave acidente de viação onde treze compatriotas perderam a vida; 

Temos que estar preparados para este tipo de situações e dar tudo o que temos não só a nível organizativo como do ponto de vista moral para tentar amenizar sofrimentos. Conquanto possamos não ter preparação académica para este tipo de situações, socorrermo-nos, da experiência que é também uma grande universidade. 

O embaixador Francisco Seixas da Costa, esse sim um verdadeiro diplomata, costuma “desancar” nos vice-cônsules que diz, e é verdade, não são diplomatas; aprecio o que escreve tanto quanto aprecio o seu diplomático percurso. 

Isto vem a propósito da “senhora” diplomata que, no caso em questão teve uma atitude absolutamente lamentável; é facto que não tinha preparação alguma para exercer as funções que lhe foram atribuídas como não tinha nem carácter, nem feitio, nem experiência para lidar com aquela difícil situação; ainda me lembro da sua atitude descontrolada quando insultava familiares das vitimas, vociferando na pista de aviação!

Senhor embaixador Seixas da Costa, isto é também a realidade de vice-cônsules que fazem o “Job” e de “diplomatas” que envergonham Portugal! 

Porque o “post” já vai demasiado longo, reservo para a próxima intervenção a revelação de algumas objectivas verdades. 

Muito tenho a dizer no fim desta minha carreira. As verdades sairão e como diz um politico que muito aprecio: “ A mim ninguém me vira!”. 

Bordeaux, 26 de maio de 2013.

JoanMira

Texto - “Tacho e “Panela”

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Vive-se actualmente em Portugal um clima de grande incerteza politica.

O “socialista” o Assis, que andava a ruminar uma qualquer maquiavélica vingança desde que foi preterido da liderança do PS, aproveitou o resultado das eleições para “botar” fora o fel que lhe corre nas veias.

E assim jorrou o: “Contranatura” na eventualidade de os partidos de esquerda poderem vir a formar governo; como se a maioria dos eleitores não tivesse maioritariamente votado PS/BE/CDU…,ao ponto de se situar tão à direita do seu partido que pode parecer legitimo e oportuno alvitrar se o artolas não deveria migrar quanto antes para junto de Peter Steps Rabbit e Paul Doors, com a bênção de Cavacuo Silva.

Qual a diferença entre Assis, Coelho e Portas?

Do menino frustrado, desiludido, ávido e birrento já falamos. De Pedro Passos Coelho nada vamos adiantar pois todos temos em memoria as promessas feitas antes de ser “prime”, traduzidas em mil mentiras dignas do Pinóquio Sócrates. Resta-nos Paulo Portas para nos divertirmos um pouco.

Pelo semblante carregado que tem apresentado nos últimos dias, parece que as coisas não lhe estão a correr la muito de feição. Aparenta todos os sintomas de alguma angustia, de breve “des-coligação”, de perda do “tacho” com que, irrevogavelmente, foi prendado.

E para ele, como é obvio, um bom “tacho” não pode ser substituído por uma grande “Panela”! Paciência caro, os "tubaralhos" ja arreganham a dentuça...

Depois de se “por a milhas” da governação, pode ser, ainda, que volte seriamente à baila o caso dos submarinos “rotos”…é “irrevogável” né?

Bordeaux, 15 de Outubro de 2015.

JoanMira

8.8.16

Texto - "Jovens filhos da puta"


As irmãs dos filhos da mãe não são necessariamente pessoas de ma vida, como apregoam os antigos.

Hoje em dia ser filho da puta é de uma banalidade extrema. As mães continuam a não estar em causa. Elas procriaram com amor sem saberem que, não obstante todo o carinho, iriam “parir” monstros.

As mães são seres que irradiam amor eterno. Têm sempre com elas a esperança de ter dado à luz um bebé extraordinário.

Mas, infelizmente, não é sempre assim, por isso aparecem aprendizes monstros capazes dos maiores horrores por vezes sem deles terem consciência.

Vi há pouco tempo, na Internet, uma jovem queimar um cachorro, de patas atadas, indefeso, sofrendo horrivelmente… Ela sorria…

Deu-me vontade de vomitar e cresceu em mim uma revolta extrema.

Nesse momento senti, de facto que há seres que não merecem qualquer respeito. Nem sequer que lhes chamem aquilo que as mães não foram.

01-06-2015

JoanMira

3.8.16

Historia do assessor que chamou "Alforreca" a Passos


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Há nove meses, João Gonçalves, autor do blogue "Portugal dos Pequeninos", escrevia um post com o título "A alforreca". Era sobre Passos Coelho e a sua "inoportuna proposta de revisão constitucional". Aí, escrevia: "Insensível ao curso da realidade, tal qual uma alforreca perdida com a mudança das marés e das correntes, Passos deu à costa com um tema perfeitamente escusado, mal explicado e sem o menor interesse." E concluía: "Passos já vai na terceira ou na quarta oportunidade e ainda não conseguiu uma primeira boa impressão. Palpita-me que tem um lindo futuro atrás dele".
Nove meses depois, Passos chegou a primeiro-ministro e Gonçalves chegou com a "alforreca" ao Governo - é adjunto político do ministro dos Assuntos Parlamentares, Miguel Relvas. O mesmo Relvas que o autor do "Portugal do Pequeninos" (um dos blogues de política mais lidos do país) chamou "pequeno Torquemada de Tomar" (30-10-09).
O atual adjunto de Relvas disse do PM o que muitos dos seus adversários não ousariam pensar. Em janeiro de 2010, depois de ver uma entrevista de Passos à RTP, Gonçalves desabafava: "dói-me a tola. Passos provoca enxaqueca porque aquilo é Sócrates sem os anos de palco que Sócrates leva. (...) Oscila entre o velho cacique da 'jota' e o antigo candidato à câmara da Amadora numa gravitas que cheira a falso." Outra entrevista, em dezembro de 2009 (feita por Adelino Cunha, agora também no gabinete de Relvas), mereceu comentários como estes: "Reparem na 'clareza' dos lugares-comuns facilmente parafraseáveis por um qualquer secretário de Estado da nomenclatura de Sócrates", "reparem na subtileza digna de um mediano treinador de futebol". Passos era reduzido à condição de "homem que chegou 'a fazer um casting para participar num musical do La Féria, no Politeama' mas que, pelos vistos, não chegou aos calcanhares de uma Anabela ou de uma Wanda Stuart."
Antes de Passos ser líder do PSD, Gonçalves era igualmente cáustico. "O que mais falta anda a fazer é emergir, como putativo líder, o sr. Passos Coelho, o delfim de Ângelo Correia e uma vacuidade absoluta", escrevia em 2008. Três semanas depois, voltava à carga: "Coelho distinguiu-se como um vulgar cacique da JSD. Por si só, esta circunstância recomenda-o imediatamente como candidato a salvador da pátria como, a seu tempo, Ângelo nos fará crer que ele é." Mais tarde, Passos, ainda candidato ao PSD, era metido no lote dos "candidatos a futuros artistas de circo", ou era descrito como "a mais recente abrótea", "formado no pior aparelhismo".
Com Passos já à frente do PSD, Gonçalves classifica a direção do partido como "assaz medíocre" e o seu líder como "só mais um nessa inconfundível balaustrada pejada de putativos salvadores de uma coisa que já não tem salvação."
Palavras só comparáveis com a violência usada pelo bloguer para falar de Sócrates. Não é por acaso que foi o principal blogue de apoiantes de Sócrates - "Câmara Corporativa" - a fazer o levantamento dos textos de onde foram retiradas estas citações.
Ler mais: 

27.7.16

Banif: Comissão Europeia arrasa governo de Passos Coelho


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Num documento enviado aos deputados da Comissão Parlamentar de Inquérito ao Banif, a Comissão Europeia aponta o dedo ao anterior governo PSD/CDS pela sua inação e inaptidão na gestão de todo o processo.
“Desde que a aprovação temporária da ajuda do Estado foi aprovada em Janeiro de 2013, a Comissão instou repetidamente Portugal a agir no caso Banif” pode-se ler na carta de resposta de 59 páginas enviada de Bruxelas, a que o jornal Público teve acesso. O documento mereceu elogios do deputado Miguel Tiago do PCP, que salientou “a clareza superior ao habitual” da argumentação e que demonstrava que “o anterior Governo foi no mínimo negligente”.  Mário Centeno, ministro das Finanças, também elogiou a resposta do executivo comunitário, notando que fica claro que “é reconhecido pela Comissão que este é um processo anormal.”
Na carta, assinada pela liberal Margrethe Vestager, Comissária para a Concorrência, é revelado que “a Comissão foi muito clara em cada momento sobre as diferentes versões das propostas de planos de reestruturação enviados pelas autoridades portuguesas, e que não permitiriam o regresso da viabilidade ao Banif. As diferentes versões tinham em comum, entre outras coisas, dados de muito fraca qualidade, projecções de rentabilidade irrealistas e sem fundamento”. Assegurou ainda aos deputados que  no passado aprovou “planos de reestruturação em Portugal que foram implementados (por exemplo no BCP e no BPI)” e que “as decisões, nesses casos, foram tomadas em menos de 18 meses após o início das discussões”. A comissária sublinha que tal “contrasta fortemente com a duração das discussões sobre o Banif que se estenderam por mais de três anos”.