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5.10.16

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Lembrei-me subitamente que eu próprio podia ser um ser humano. Não pelas dores físicas ou outras, que de vez em quando nos chamam à realidade mas porque até os sonhos são mais frequentes e irreais…

Não irei evocar a eterna questão: que faço, porque estou aqui? Outros cérebros muito mais bem constituídos se debruçaram sobre a questão sem chegarem a conclusão que satisfaça a alma…

Que pensar então? Modular-se à existência existente, respeitando as regras impostas ou sonhar por um mundo diferente?

Impedir ao cérebro “magicar” sobre a nossa essência?

Seria possível aceitar o compromisso máximo: cumprir e sonhar?

Quanto a mim, sonhar é imprescindível durante o espaço-tempo arbitrariamente imposto.

Que fazer, então?  Para sonhar é preciso ir até ao fim da tortura.

Morrer não é morrer; talvez seja o reencontrar de outra “vida” esclarecidamente  mais iluminada e que há muito não mais brilha  nos olhos das crianças…

Mas, de repente, ouve-se o altifalante: “o sonhador com destina à planeta a definir é requerido imediatamente ao guichet 4 – Secçao B…” Acordei!!!

05-10-2016

JoanMira

4.10.16

Texto - Fabula Salazarenta


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Era uma vez um Pais pequeno, sem duvida, mas onde cada qual tinha o seu lugar; isto é: os muitos pobres já sustentavam alguns ricos.

O Pais, graças ao pequeno líder Salazar, armazenava ouro, à medida que expelia gentes.

O analfabetismo, graças à intensa colaboração entre o presidente do conselho e o maquiavélico cardeal Cerejeira predominava.

Curioso era que para viajar para as “nossas” Províncias Ultramarinas era exigido passaporte a todo e qualquer cidadão… Curioso era também que a qualquer Português que pretendesse emigrar, só se lhe fosse concedido  passaporte de turista, depois de atento exame das mãos para averiguar que não eram “trabalhadores”; que não tivessem calos!

Tudo isto foi por mim vivido até à adolescência.

Curioso é, também, de saber que no regime do “Estado Novo” só votava quem pagasse impostos! i.e. votavam os do regime da União Nacional.

Não falaremos aqui da PIDE, da privação de liberdades, da tortura…

Havia, de facto, liberdade para alguns e muita privação de liberdade para a maioria!

Quando leio opiniões de certas pessoas (que hoje estão bem na vida)   para o regresso a um regime pró-“salazarista”, dá-me um certo nojo!

Desculpe quem se sentir  ofendido mas não foi  meu intuito.

04-10-2016

JoanMira

Texte - "Automne"


De là-haut elle contemple la rivière scintillante ; elle perçoit, dans la pénombre des animaux insouciants ; vaquent-ils à leurs occupations ou errent-ils d’instinct sans chercher à savoir où ils vont et pourquoi sont-ils là ?

Elle commence à virevolter lentement ; et, arrivant à un stade d'un niveau plus bas, elle a tout loisir de se laisser bercer par la brise parfumée de toutes ces senteurs d’automne s’évaporant des feux de bois…

Un rayon pâle de soleil déclinant, lui rappelle les peintres impressionnistes qui l’ont aimée et qu’elle a aimés. Doux souvenirs d’un passé, de  couleurs, pensées, parfums…

Parfums de plus en plus présents ; le sol est à bout de brindille ; la mousse vert-pastèque des grands arbres se détache nettement maintenant.

Dans un dernier souvenir avant l’atterrissage, elle a le temps de s’incliner devant cette nature ;  car, si  chûte en plein milieu d’orage, elle n’eût pu avoir cette pensée voluptueuse, répétée et lente tel le "Boléro" de Ravel…

Sa transformation sera donc, sans doute,  empreinte d’une douceur éternelle.

Voilà, le sol…Douceur et rêve … Il est temps que la métamorphose de la feuille commence…

04-10-2016

JoanMira

30.9.16

Texte - Prison et Clinique


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Quelle est la différence pouvant exister entre une clinique psychiatrique et une prison? Je ne suis pas sûr que le lecteur puisse répondre à cette question sans un minimum d’effort…

De fait, et à cause d’une certaine intelligence, j’ai volontairement beaucoup fréquenté le milieu hospitalier. On y vit bien si l’on respecte toutes les règles : pas de "visites" dans les chambres, pas d’alcool, pas de cannabis, ne pas fumer dans la chambre, coucher obligatoire à partir de 22 heures… Tout cela sous peine  de se retrouver à un séjour forcé au "sous-marin", bâtisse glauque  en sous-sol, équivalent du « mitard » des belles prisons françaises… J’ai vécu tout cela…à cause d’une propension réelle de m’insurger contre l’ordre établi.

Après cette brève introduction, essayons de trouver les points communs entre l’hôpital et la prison ; beaucoup de choses communes : les repas milétriquement merdiques, la privation de liberté,  les barrières qui se ferment, les rapports entre prisonniers… Mieux vaut affirmer son caractère dès le début de la détention… Cela vous permet d’être le mec respecté.

Et la prison, alors ? J’avoue n’y avoir jamais séjourné. Mais il n’est jamais trop tard !

La différence essentielle c’est que à la clinique on peut, si on ne veux plus respecter les règles, partir quand bon nous semble.

Je n’ai pas encore goûté à la prison. Mais si je dois y aller que ce soit pour une bonne cause… Un crime parfait, loin, très loin des exactions des terroristes barbares…

Bordeaux, 30 septembre 2016
JoanMira  

Texte - Le beau ventilateur à merde - 3ème version


 

Avez-vous jamais subi le supplice suprême ? La fatigue du far niente, n’est rien comparée à l’insomnie quand il vous faut inventer des histoires farfelues en attendant que le sommeil vous prenne ! Avant que je ne me perde dans les bras de Morphée – qui décidemment n’est pas un ami fidèle – je vais vous parler d’une invention digne de Léonard de Vinci : le ventilateur à merde universel ! C’est une machine aquatique inventée bien avant Erodes. Appareil parfait, il en a éclaboussé et crépi pleins de cons de tout acabit !

La matière première n’ayant jamais manqué, ses débuts connurent un succès extraordinaire… Dans un premier temps il fut utilisé pour disperser aux quatre-vents toutes les déjections humaines qui parfumaient nos maisons. Mais, peu-à-peu, d’ingénieux ingénieurs lui trouvèrent une fonction beaucoup plus intéressante et remarquable.

Cela consistait à asperger tous les ennemis emmerdants ; le système était ingénieux. Un petit réservoir rempli de merde liquide devait propulser celle-ci mue par une girouette dont le mouvement était actionné, en pompant, par un serveur dont c’était l’occupation principale. Et cela marchait ! Plein de fouteurs de merde, comme on les appelait, se sont enrichis grâce à la belle invention.

Machine diabolique, archaïque sans son ni images elle continue promise à un bel avenir!

Comme quoi les inventions les plus simples sont les plus durables.

Bordeaux, 30 septembre 2016.

JoanMira

29.9.16

Texto - Necessidades de Bergueilhem ...?

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Berguilheim é de facto uma terra de excepção; situada algures no continente europeu, a sudeste da Grã-Bretanha, um pouco mais a norte de Munique e também a sul de Hamburgo e um pouco mais da Dinamarca , caracteriza-se sobretudo pelas suas costas de mar cinzento e gélido… Mas o que mais agrada ao turista é a qualidade dos seus peixes de agua fria. Poucos conhecem Berguilheim mas quando souberem que de la provem o famoso "salmonete de berguilha", vai ser uma correria para os amigos de Paulo Portas e, bem assim, todos os panascas das "Necessidades" !…

29-09-2016
JoanMira

Texte - Les rumeurs de la vie - Dieu


Il m'arrive encore d'être ébahi de la coordination parfaite entre raisonnement, respiration tout en se grattant le lobe de l’oreille. Le mécanisme humain est tellement complexe qu’il ne devrait pas être laissé aux hommes si parfaits fussent-ils.

Alors, tout en respirant, il nous est donné de nous interroger. L’être est-il une création de Dieu ? Et si c’est le cas, quel Dieu…

Icelui qui a créé l’existence à notre image… Irascible, juge de nos actes, considérant que les règles de la vie doivent s’appliquer à tous les autres mais jamais à soi.

Réfléchir nous conduit à notre état sauvage, reptilien, bête, tout simplement.

Mais, arrivé à ce stade, je dois, en toute humilité, reconnaître ma perplexité. De grands scientifiques ont fini, au bout de leurs pensées, d’admettre son existence, arrivés au dernier stade de leur intelligence.

Alors, je continue de respirer tout en pensant à Einstein, Newton, Pascal, Vivaldi,  Beethoven et tant d’autres amis.

29-09-2016
JoanMira 


28.9.16

Texte - La passion selon Joan

A-t-il jamais aimé?

Il ne s'aime pas!
Il n'y croit pas

Dans son boulot, certes, il a été reconnu comme compétent ; et il a voulu le prouver aux "cinq coins" du Monde… 

Mais il n’y croit même pas… Il a même accepté, en début de carrière, de jouer le "garçon" pour des collègues féminines. ("Va nous chercher du thé à la brasserie en-dessous"). 

A l’époque, comme tout jeune homme, il voulait réussir ! "Il a brûlé" les yeux jusques à la fin de maintes nuits d’études. Il était nanti d’une force titanesque due certainement à la 
Force et jeunesse encore là.

Il a sauté de joie quand nommé « Chancelier » dans son « taff »…

Quand il a été promu « Vice-Cônsul », Son ego est devenu immense.

Il ne savait pas alors que la promotion était empoisonnée… Beaucoup plus de travail de représentation, plus de week-ends libres, salaire en chute libre… Je vous hais !

C’est pour cela que je ne m’aime pas ; mais, miracle, je peux encore aimer les autres quand ils sont sincères.

28-09-2016

JoanMira

26.9.16

Les frasques de Serge Aurier du PSG! Suite...


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Serge Aurier est fixé. Entendu par la justice lundi matin à Paris, le défenseur du PSG a été condamné à deux mois de prison ferme et 2.100 euros d'amendes pour violences sur un policier. L'international ivoirien n'ira toutefois pas réellement derrière les barreaux, la peine étant aménagéable.

Le juge s'est montré plus sévère que le procureur qui n'avait requis que deux mois avec sursis. Le joueur va faire appel de la sanction. En l'état, rien ne l'empêche d'être du déplacement parisien en Bulgarie, pour affronter le Ludogorets Razgrad mercredi en Ligue des champions, puisque la peine n'est pas assortie d'un mandat de dépot à l'audience.

Serge Aurier comparaissait pour violences sur un policier. En mai, il avait eu une altercation avec un membre de la brigade anticriminalité à la sortie d'une boite de nuit sur les Champs-Elysées. Placé en garde à vue dans la foulée, le joueur n'avait pas été sanctionné par son club, qui s'en tenait alors à la présomption d'innocence.

Le joueur vit une année 2016 compliquée. En février, Serge Aurier avait insulté son entraîneurde l'époque, Laurent Blanc, dans une vidéo diffusée sur Periscope. Le PSG l'avait alors suspendu un mois.

20 Minutes - France