C’est si pénible que même
moi je m’ennuie.
Spectacle merdique ou le
pognon est roi, il n’est que prétexte à des « fights » entre
hooligans avinés.
J’ai joué au rugby et au
foot ; les combats se passaient dans le rectangle vert ; parfois
violents, mais, dès le sifflet final de l’arbitre, les adversaires, mettaient
de côté tout protagonisme ; nous nous réunions autour d’une bière limonade
tout en refaisant le match, les buts, les coup-francs et tous les les coups
échangés au cours de la partie… Temps heureux où le joueur Basile, noir costaud
de Seyresse (Dax) tout en étant amoureux de ma sœur Christine, ne m’épargnai
pas sur le pré. Nos étions copains e je lui rendai bien sa générosité….
Nous avons disputé
plusieurs championnats. Mais il fallait se préparer contre Basile ! C’est
que sur le terrain il était pénible, le salaud !
Je me souviens de tous
les copains rencontrés le dimanche après-midi à 15 heures…
Rémy de Saint-Vincent de
Paul et se tacles assassins…Lesluyes et l’art d’utiliser les coudes…Charpentier
de la JAD, qui m’ appris comment le métier rentrait en me mettant un énorme
coup (par ailleurs rendu)…
La finale de la coupe des
Landes gagnée sur le terrain d’Yzos avec
moultes coups avec un arbitre noir qui a passé le match à m’avertir sans jamais
me sortir le carton jaune…
Era guarda-redes o falecido Toneca ; um
grande Amigo.
Tudo isto para referir que o €uro de football
nada tem a ver com as minhas recordações tão lindas.
Bordeaux, 17-06-2016
JoanMira