Comme chaque soir j’aime bien contempler le silence du ciel étoilé avant de me coucher ;
cela fait partie d’un lointain rituel dont s’est toujours alimenté mon esprit de rêveur souvent solitaire.
Nous étions em été, le soleil avait durement chauffé la journée, mais le soir apportait quelque brise à mes pensées ; elles erraient et déambulaient au-delà de l’espace sidéral entre planètes, comètes et étoiles filantes… Un rêve merveilleux !
Mais, soudain : “AH RHA RHA RHA RHA RHA !!!"
cela fait partie d’un lointain rituel dont s’est toujours alimenté mon esprit de rêveur souvent solitaire.
Nous étions em été, le soleil avait durement chauffé la journée, mais le soir apportait quelque brise à mes pensées ; elles erraient et déambulaient au-delà de l’espace sidéral entre planètes, comètes et étoiles filantes… Un rêve merveilleux !
Mais, soudain : “AH RHA RHA RHA RHA RHA !!!"
Le rire forcé et gras détruisit ma paisibilité, s’insinua et pénétra violemment dans mon monde magique.
...Il provenait de vacanciers ayant loué la villa voisine et qui “s’en battaient les couilles” (comme ils disent) de troubler la quiétude des autochtnones aux heures de repos.
Eux se trouvaient, sans effort, dans un état “normal” d’hébétitude et certainemet second.
Je finis par m’edormir et rêver, comme souvent, à un monde utopiquement parfait.
03-08-2018
Je finis par m’edormir et rêver, comme souvent, à un monde utopiquement parfait.
03-08-2018
JoanMira
