"Pépé Le Putois", alias Emmanuel Macron et ses sbires n’hésitent devant rien, pour satisfaire leur soif de libéralisme sans précédent et leur faim de casse des protections.
Ce dont ils rêvent c’est de revenir au temps de la place de grève où ils pourraient venir tâter les muscles et regarder les dents avant d’embaucher pour une journée de 14 ou 15 H pour 10 euros et une platée de féculents aux cailloux. Ces beaux messieurs défendent la précarité qu’ils ne cessent de renforcer, d’une loi travail qui fait voler en éclats toutes les protections des moyens de défense d’un nombre considérable de salariés et de revenus qui ne cessent de se dégrader...
Ce qu’ils connaissent du monde du travail doit se limiter aux emplois liés aux grandes écoles de commerces et aux patrons de banques ou de start-up, à la finance, pour eux tout le reste n’est que valetaille, celles et ceux qui produisent réellement les richesses sont méprisés, insultés, stigmatisés, ponctionnés.
Pour l’instant les seules promesses tenues sont celles qui tapent et prennent sur les plus pauvres, les plus fragiles et les plus précaires pour satisfaire les plus riches, les actionnaires et les grands patrons.
Leur politique pour les salariés, les retraités, les étudiants, les chômeurs, les écoliers, ce n’est que de la communication et le pire c’est que la majorité des observateurs, journalistes et éditorialistes, quand Macron fait de solennelles et arrogantes déclarations, "parlent de droit dans ses bottes", mais ses bottes ne touchent pas le sol, en tout les cas pas le même que nous.
APEIS
