Nombre total de pages vues

7.7.20

Texto - O "trolha" do Consulado de Portugal em Toulouse


Afficher l’image source

Ha gajos cujos "n" antepassados + alguns, deveriam ter tido o destino absoluto de todo e qualquer aborto. 

Desta forma não teriamos, entre outros também, uma nodoa dita "trolha" pela Comunidade a "chefiar" o consulado de Portugal em Toulouse. Uma vez mais obrigado panascas das Necessidades ! 

07-07-2020
JoanMira

3.7.20

Texto - Julia - 03-07-2020



Fez hoje sete meses que te foste embora, nos deixaste desesperados e nunca mais voltaste para romper a solidão.



Foste o maior amor da minha vida, foste a razão e o porquê...

Continuo a marcar as paginas dos meus livros com pétulas tristes do presente tristonho.


Esta noite irei de novo sonhar contigo e quando acordar irei secar as minhas lagrimas.

Eu sei que estas bem. Tens-me dado sinal disso.

Até breve meu bébé ; muitas saudades.

03-07-2020
JoanMira

2.7.20

Texto : Historias vividas na Emigração (Pinto Machado e o carro que anda para caraças)

Naquele dia - de fim de semana, claro - iamos a qualquer recepção ou renunião. O cônsul PM ao volante do seu Renault 25...

Estavamos nos anos 80 e o carro do PM era o de que melhor fazia na altura ; o carro falava e tudo.

Antes de sairmos de Bayonne, o R25 lembrou-se de dizer que uma porta continuava aberta. Paramos, o PM deu a volta ao carro e verificou que tudo estava bem... O carro estava a "brincar" com ele...

Depois o PM acelerou e chegados a 5 km ao destino, voltou a parar num parque de estacionamento.

Perguntei-lhe : "Então, tão perto do destino, porque parou?"

Volta-se para mim com um sorriso de atrasado mental, e retorque : "O senhor sabe decerto que as pessoas importantes se devem de chegar sempre um pouco atrasadas ; por isso vamos ficar aqui os minutos necessarios para salvaguardar a minha qualidade; eu tenho vindo devagar mas este carro anda para caraças (não foi bem este termo que utilisou) !"

Não consegui reprimir uma grande gargalhada...

02-07-2020
JoanMira

30.6.20

Texte : "La chute de mon coeur"


 

Et soudain, sans avertir ,imprévisiblement, mon coeur est tombé du neuvième étage, sans crier gare, et sans que mon âme ne puisse le rattraper.

Nous étions en juin, le ciel étoilé et un quart de lune présente.

Il s'est posé doucement sur une rose jaune sans qu'aucune épine ne l'ait piqué.

A côté de lui, une feuille d'érable virevoltant en silence, s'est posée de même qu'un papillon nocturne. Sur l'herbe douce des vers luisants jouaient une douce et harmonieuse mélodie ; des reflets de lune donnaient à la scène un caractère irréel.

C'était tard, j'ai voulu me coucher et j'ai rêvé que mon coeur se tenait à côté de mon âme, paisibles.

30-06-2020
JoanMira

29.6.20

Texte - Makron et son gang : existent-t-ils encore ?

Résultat d’images pour caricature de SIBETH NDAYE "Le temps est à l'action", a déclaré lundi Emmanuel Macron en endossant quasiment toutes les propositions des 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) qu'il a reçus à l'Elysée au lendemain du large succès aux municipales des écologistes qui restent circonspects.

Ben voyons, après la déculottée de son parti (LREM) il fallait bien se mettre dans le sens du vent... Et, brusquement, il est devenu écologiste... Hypocrite de mes...

29-06-2020
JoanMira

TEXTES JOANMIRA - Amours impossibles

L'une est fascinée, l'autre obnubilé de convenances sociales.

Qu'est ce qui peut empêcher ces deux-là de s'aimer ?

Ils se sont connus il y a quarante ans, ils se sont respectés, la différence d'âge aidant, et puis l'un a avoué son amour caché à l'occasion d'un évènement exceptionnel.

Mais ils ne peuvent s'aimer pour des raisons bizarres ; l'autre parce que craignant ses parents, l'un imbu de la peur des bien-pensants.

Peut-être attendent-ils une vie nouvelle dans  l'autre monde ; peut-être n'attendent-ils rien. Peut-être le masochisme s'impose ; serait-ce inéluctable ?

Ronsard a écrit "et les amours desquelles nous parlons, bientôt ne sera plus nouvelle, pour ce aimez-moi cependant qu'êtes belle".

29-06-2020
JoanMira

28.6.20

Texto - A minha juventude



Olhe bem, preste atenção, isto é uma pequena pagina da minha juventude

Cinco minutos antes da hora fixada, partia correndo do 67 da avenida da Bélgica, rumo ao numero 10 da Henrique Galvão, parava na gaiola dos passarinhos, ao lado do "circuito" dos triciclos onde todos os putos se borravam com o oleo corrente.

Depois, era mais felicidade ; a minha avo, a minha tia...

29-06-2020
joanMira

27.6.20

Texte - Un jour sans toi

Afficher l’image source
J'étais tranquile, j'étais peinard en rongeant ma peine et, subitement, sans savoir pourquoi, elle s'est insérée dans ma vie ; Ô que le destin est traître ! Pourquoi relancer mon coeur déséspéré ? C'est tellement plus simple d'éviter les peines d'amour...

Mais voilà ; c'est ainsi. J'essaie d'éviter de penser à elle mais je n'y peux rien ; seul un destin fatal pourra épargner ma détresse ; je l'aime et elle ne peut pas. Les heures sont une éternité sans elle ; je souffre en silence et mes mots ne sont qu'une échappatoire en attendant la fin inéluctable.



Au moins, ai-je pu me défaire de ma timidité réservée et j'ai réussi à lui dire combien je l'aimais... Triste réalité puisque c'est un amour latéral.


Ma souffrance s'éteindra sous peu ; personne n'est obligé de vous aimer ; la vie nous donne beaucoup de leçons : la plus importante est qu'il ne suffit pas d'être sincère, honnête, aimant, compréhensif ; encore faudrait-il avoir une lueur dans le regard qui puisse transmettre les sentiments.

Même furtif, je t'aime.

27-06-2020
JoanMira

26.6.20

Texte - Le vertige du néant


Afficher l’image source

L'attraction du néant ?

Avez-vous jamais expérimenté la sensation, en haut d'une montagne, au bord d'une falaise, voyageant en hélicoptère, ou en deltaplane d'être attiré par le vide ?

Un jour à Bayonne je suis passé d'un appartement à l'autre d'un sixième étage (sous vide) sur un rebord de 20 centimètres et sans vertige. J'étais jeune à l'époque...

Aujourd'hui, je n'ai toujours pas de vertige mais une attraction dérangeante de glisser en chute libre jusques aux fin des cieux.

Et si le voyage durait, ce serait magnifique... Voler au-dessus des étoiles, voir le soleil sous mon corps, la lune très loin, les fleurs de mon jardin encore plus, les gouttes de pluie effleurées, le ciel bleu magnétique au fond du décor...

Trouver le paradis perdu depuis la connaissance, retrouver des êtres aimés qui me manquent tellement... Oublier ce monde où personne n'est responsable, où tout le monde ne pense qu'à son egoïsme ; où l'amour serait vrai pour l'éternité.

Sans haine, rancunes, sans hypocrisie, sans méfiances, avec vérité et amour.

Dieu, s'il te plaît, offre-moi ce Paradis. Ma vie sur terre n'a plus de sens.

26-07-2020
JoanMira