Quando tiveres percorrido todo
Aquele caminho, estiveres exausto,
Que os pés, o corpo, a alma te doam
Soh estarahs no inicio da grande viagem
Que te levarah, talvez, à felicidade.
O questionamento da existência estarah
Sempre presente na minha mente: viver!
Tão pouco tempo... Deixar os entes queridos
Sem ter tido tempo de os conhecer...
Frustração que nos conduz ao fim da existência...
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L'irascibilité de l'existence vous conduit
Aux Pensées enchantées du poète:
J'ai senti le frisson de Ferré, Aragon, Ferrat,
Et je crois avoir compris leurs sentiments.
Mourir n'est pas mourir quand en absence de
Signes traditionnels le corps, en état second,
Ne réagit plus à nos divines suppliques.
L'on dit alors que la vie s'en est allée.
Je crois aux vertus de d'esprit: ces prémices
De la quête du bonheur et du cheminement du
But jamais atteint qu'est la Plénitude...
Place à la a vraie vie; l'absence se transforme en
Esprit de connaissance et lumière et en
Avènement fondamental de l'Être.
Et, semble-t-il, la continuité éternelle perdure
Au-delà des temps i mémoriels.
Douce, reconnaissante, bienveillante
A des années lumières de toute souffrance.
JoanMira