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20.7.25

AUTOMOBILE - Electriques - Les chiffres qui font mal : un taux de panne record

Les statistiques sont parfois cruelles, et celles de la dernière enquête du magazine What Car? sont sans appel. D’après leurs résultats, les véhicules électriques sont le type de voiture qui tombe le plus souvent en panne. En effet, 16,8 % des propriétaires de voitures électriques ont signalé une panne au cours des deux dernières années. C’est nettement plus que les voitures à essence (10,7 %), les voitures hybrides (14 %) et même les diesels (15 %). Un sondage exclusif du journal The Telegraph enfonce le clou : sur plus de 270 000 personnes interrogées, une majorité écrasante de 83 % a déclaré qu’elle n’achèterait pas de voiture électrique.

©freepik

(à suivre)

19.7.25

AUTOMOBILE - Electriques - La grande déception des promesses face à la réalité

On nous dit souvent que les voitures électriques sont l’avenir, une solution plus propre et plus moderne pour se déplacer. Pourtant, une récente et vaste enquête menée auprès de dizaines de milliers d’automobilistes vient jeter un pavé dans la mare. Il semblerait que la réalité soit bien plus compliquée que la promesse. De plus en plus de voix s’élèvent pour partager leurs frustrations et leurs doutes, dessinant un portrait bien moins rose de la vie en voiture électrique. Cet article explore pourquoi tant de gens hésitent encore, voire regrettent, d’avoir franchi le pas.

©freepik

(à suivre)

18.7.25

MYSTERES DES ABYSSES - Les disparitions de 1968 : l’USS Scorpion - mer Méditerranée

En mai 1968, le sous-marin nucléaire américain USS Scorpion disparaît alors qu’il rentre à base depuis la Méditerranée. En octobre 1968, sa coque endommagée est finalement retrouvée, comme en témoigne la photo de l’épave ici présente. Aucune annonce officielle n’a jamais été faite, ce qui a alimenté la théorie selon laquelle le sous-marin aurait été la cible d’une attaque soviétique.

©Pictorial Parade/Getty Images

16.7.25

MYSTERES DES ABYSSES - Les disparitions de 1968 : le K-129 - océan Pacifique

En mars 1968, le K-129 quitte sa base de Petropavlovsk, dans l’est de la Russie, pour effectuer une patrouille de routine. Le sous-marin soviétique est équipé de trois missiles nucléaires et compte 83 membres d’équipage à bord lorsqu’une énorme explosion sous-marine est détectée. Une première mission de récupération échoue, mais en août 1968, les États-Unis parviennent à localiser l’épave à 2 414 km au nord-ouest d’Hawaï, à une profondeur de 5 000 mètres. La CIA a gardé l’opération de récupération de 1974 secrète, et les Soviétiques ont soupçonné une action américaine. Ne saurons-nous jamais le fin mot de l’histoire ?

©CIA Photo/Wikipedia/Public Domain

CITATIONS DE PIERRE DESPROGES - Egalité mensongère





Qu'on me pardonne, mais c'est une phrase que j'ai beaucoup de mal à dire sans rire.

Dicocitations

 

14.7.25

MYSTERES DES ABYSSES - Les disparitions de 1968 : la Minerve - côte française

Le sous-marin français La Minerve a disparu en janvier 1968 lors d’un exercice militaire. L’alerte a été lancée lorsqu’il n’est pas revenu à sa base, à Toulon, le jour suivant son départ. En 2019, des drones sous-marins ont réussi à localiser l’épave, à 45 km des côtes françaises. Bien que le sous-marin ait été réduit en plusieurs morceaux, son nom était toujours visible. Le fait qu’il repose sur un fond marin à faible sédimentation a favorisé sa conservation. On ne sait toujours pas exactement ce qui l’a fait couler en seulement quatre minutes, même si certains évoquent un problème de gouvernail.

©STF/AFP via Getty Images

13.7.25

MYSTERES DES ABYSSES - Les disparitions de 1968 : l’INS Dakar en mer Méditerranée

En 1968, quatre sous-marins appartenant à trois pays différents se sont volatilisés. En janvier 1968, le navire israélien INS Dakar faisait route vers son pays d’origine depuis l’Écosse. Il a envoyé un dernier message alors qu’il se trouvait à l’est de la Crète, mais n’est jamais arrivé à destination. L’épave a finalement été découverte en 1991 entre la Crète et Chypre, à presque 3 000 m de profondeur. Les experts pensent que l’INS Dakar a fait naufrage en raison d’une erreur d’origine mécanique ou humaine, ou après avoir été submergé. Des restes de l’épave (en photo) sont désormais exposés au musée de la Marine israélienne à Haïfa, en Israël.

©Ido403 עידו403/Wikipedia/CC BY-SA 2.5

10.7.25

MYSTERES DES ABYSSES - L’anomalie de la mer Baltique - golfe de Botnie

Vestige de guerre ? Vaisseau extraterrestre ? Surnommé l’anomalie de la mer Baltique, un disque en forme de champignon de 60 mètres de large repose à 91 m de fond dans le golfe de Botnie, entre la Suède et la Finlande. Doté de lignes de construction, d’éléments rectangulaires et de fissures remplies d’un mystérieux matériau noir, nul n’a pu déterminer l’origine de cet objet ni expliquer comment il s’est retrouvé ici.

©OceanX via Wikipedia


Certains pensent qu’il s’agit de vestiges datant de la Seconde Guerre mondiale ou de la Guerre froide, d’un dépôt datant de l’ère glaciaire ou encore d’une construction réalisée par une civilisation antique. D’autres pensent qu’il s’agit d’un vaisseau spatial extraterrestre. Étonnamment, on rapporte que les équipements électriques rencontrent des dysfonctionnements lorsqu’ils s’en approchent de trop près. Que pourrait bien être cette anomalie, et d’où provient-elle ?
©photomatika/Shutterstoc

9.7.25

VOCABULAIRE GROSSIER - "Fuck" - "bullshit" - "Kiss my ass"… Les grossièretés de Donald Trump

Le président américain ne se prive pas d’utiliser des insultes, des jurons et un langage familier qui tranchent avec la communication de ses prédécesseurs.

Comment traduire « fuck » ou « kiss my ass » à une heure de grande écoute ? La question aurait semblé ridicule il y a quelques années, mais elle se pose sérieusement depuis l’arrivée fracassante de Donald Trump à la Maison Blanche en 2017, et plus particulièrement depuis son retour en janvier dernier.

Parmi ses dernières sorties notables, mardi 8 juillet, celle visant Vladimir Poutine, accusé de dire « a lot of bullshit », « beaucoup de conneries » dans la langue de Molière. Ou encore son « they don’t know what the fuck they're doing » lâché au sujet de la guerre entre l’Iran et Israël, qu’on peut comprendre comme « ils n’ont aucune idée de ce qu’ils foutent », voire « ils n’ont aucune putain d’idée de ce qu’ils font ». En février dernier, Donald Trump avait déjà fait parler de lui en associant l’Europe et ses droits de douane au verbe « screw », qu’on peut traduire par « baiser » ou « entuber ».

Temps difficiles pour les interprètes du président américain...

HuffingtonPost